Depuis son coup forcé juste à l’indépendance, le système honni et maffieux, se maintient par le mensonge, la farce et la tromperie. Et les récentes images montant Bouteflika en compagnie de Sellal et Gaid Salah, en constituent une duperie grossière.
Depuis son coup forcé juste à l’indépendance, le système honni et maffieux, se maintient par le mensonge, la farce et la tromperie. Et les récentes images montant Bouteflika en compagnie de Sellal et Gaid Salah, en constituent une duperie grossière.
Ainsi donc, les menteurs formés par le système, apparaissent pour mentir en disant que Bouteflika se porte bien, continue à commander et gère le pays depuis son lit d’hôpital parisien. De Medelci à Sellal, le mensonge défile et circule à travers tous la canaux officiels et officieux. Et pour perpétuer le mensonge, le système honni a eu recours à la farce de la semaine dernière. Une scène mensongèrement filmée où apparaît le chef imposteur, entouré de deux de ses acolytes bluffeurs.
Le chef, en débit de son incontestable faiblesse, bluffe par une gestualité totalement automatisée .Et au crépuscule de sa vie, continue à leurrer les Algériens en tentant de dissimuler une incapacité avérée. Quant à ses deux acolytes, bien qu’ils fussent soliloques, trompent l’opinion en se montrant attentifs aux dires d’une voix inaudible. Ils excellent alors par cette scène filmée l’on sait où, dans la fabrication des mensonges, les manipulations et les manœuvres. Ils tentent aussi de contrarier par une contrevérité invraisemblable, une évidence biologique irréfutable. L’âge et la maladie usent l’homme quel qu’il soit Président, général ou ministre.
Et puis, suite à cette mise en scène, c’est un panel de menteurs qui prend le relais. Aux télévisions du système, publiques ou privées, les menteurs défilent pour harceler par des contrevérités, marteler par un canular fait de toutes pièces et opacifier par des images sombres. Aussi, les journaux inféodés à la camarilla, prennent la relève et assaillent par des titres grossièrement mensongers, totalement faux et honteusement inventés. Ce sont des menteurs professionnels hautement rémunérés.
D’ailleurs ce sont toujours ces menteurs qui apparaissent pour dire que la gouvernance est démocratique en Algérie. Ce sont eux aussi, en parfaits imposteurs, qui jugent que les élections ont été de tout le temps transparentes chez nous. Egalement, en grands bluffeurs, ils louent les réformes notamment de l’école et de la santé, pourtant couronnées d’échecs cuisants. Encore en éminents farceurs, ils annoncent leur détermination pour venir bout du mal qui ronge le plus le pays, à savoir la corruption. En notoires escrocs, ils ont placé tout l’argent du pétrole sous forme de bons de trésor dans les banques américaines…
C’est en bal que ces menteurs agissent. Voire en véritable organisation ! Du chef suprême au dernier serviteur de la caste, l’on se nourrit du mensonge et l’on crache le mensonge. Ils mystifient, trompent, illusionnent, opacifient, voilent, ternissent et surtout abusent les dupes qui continuent à gober leurs interminables menteries. Malheureusement, leur bal ouvert en 1962, ne veut plus se renfermer et les menteurs membres du même club, perpétuent alors la danse de la mystification dans la quelle ils excellent. Et à merveille.
Ainsi donc, les menteurs formés par le système, apparaissent pour mentir en disant que Bouteflika se porte bien, continue à commander et gère le pays depuis son lit d’hôpital parisien. De Medelci à Sellal, le mensonge défile et circule à travers tous la canaux officiels et officieux. Et pour perpétuer le mensonge, le système honni a eu recours à la farce de la semaine dernière. Une scène mensongèrement filmée où apparaît le chef imposteur, entouré de deux de ses acolytes bluffeurs.
Le chef, en débit de son incontestable faiblesse, bluffe par une gestualité totalement automatisée .Et au crépuscule de sa vie, continue à leurrer les Algériens en tentant de dissimuler une incapacité avérée. Quant à ses deux acolytes, bien qu’ils fussent soliloques, trompent l’opinion en se montrant attentifs aux dires d’une voix inaudible. Ils excellent alors par cette scène filmée l’on sait où, dans la fabrication des mensonges, les manipulations et les manœuvres. Ils tentent aussi de contrarier par une contrevérité invraisemblable, une évidence biologique irréfutable. L’âge et la maladie usent l’homme quel qu’il soit Président, général ou ministre.
Et puis, suite à cette mise en scène, c’est un panel de menteurs qui prend le relais. Aux télévisions du système, publiques ou privées, les menteurs défilent pour harceler par des contrevérités, marteler par un canular fait de toutes pièces et opacifier par des images sombres. Aussi, les journaux inféodés à la camarilla, prennent la relève et assaillent par des titres grossièrement mensongers, totalement faux et honteusement inventés. Ce sont des menteurs professionnels hautement rémunérés.
D’ailleurs ce sont toujours ces menteurs qui apparaissent pour dire que la gouvernance est démocratique en Algérie. Ce sont eux aussi, en parfaits imposteurs, qui jugent que les élections ont été de tout le temps transparentes chez nous. Egalement, en grands bluffeurs, ils louent les réformes notamment de l’école et de la santé, pourtant couronnées d’échecs cuisants. Encore en éminents farceurs, ils annoncent leur détermination pour venir bout du mal qui ronge le plus le pays, à savoir la corruption. En notoires escrocs, ils ont placé tout l’argent du pétrole sous forme de bons de trésor dans les banques américaines…
C’est en bal que ces menteurs agissent. Voire en véritable organisation ! Du chef suprême au dernier serviteur de la caste, l’on se nourrit du mensonge et l’on crache le mensonge. Ils mystifient, trompent, illusionnent, opacifient, voilent, ternissent et surtout abusent les dupes qui continuent à gober leurs interminables menteries. Malheureusement, leur bal ouvert en 1962, ne veut plus se renfermer et les menteurs membres du même club, perpétuent alors la danse de la mystification dans la quelle ils excellent. Et à merveille.